Quand Harley-Davidson m’a proposé de couvrir le festival Wheels & Waves à Biarritz, j’ai tout de suite dit oui. Pendant trois jours, j’ai vécu une aventure incroyable au cœur de la culture ride, entre passionnés, motos vintage, sessions BMX et moments d’exception. Voici mon récit, appareil photo en main, au plus près de l’action et des émotions.



Une arrivée électrique… au sens propre
Après une journée entière de train entre Strasbourg, Paris et Bordeaux, j’arrive à Biarritz à 23h30. Dehors, un orage violent frappe la côte basque. Trempé et excité à l’idée de ce qui m’attend, je découvre la maison louée par l’équipe Harley. L’aventure commence.
Le lendemain matin, je rencontre Céline, responsable de l’agence de communication Foxy, qui m’avait briefé quelques jours avant. L’objectif est clair : des photos naturelles, vivantes, capturant les échanges entre passionnés, l’ambiance du stand, et l’univers Harley-Davidson, le tout dans des teintes chaudes fidèles à l’esthétique de la marque sur Instagram. Et bien sûr, une livraison rapide.

Plongée dans l’univers Harley-Davidson
Je découvre le stand Harley-Davidson : une tente militaire comme toutes les autres marques, mais avec une vraie identité visuelle. Devant, une plateforme met en valeur des motos issues de différentes concessions, et accueille des démonstrations de BMX Flat.
Alex Jumelin, quadruple champion du monde, y enchaîne les figures avec Justin Fouque et Stefan Lantschner, tous partenaires de la marque.
Côté son, Harley collabore avec Klipsch, marque historique d’enceintes, et propose un espace animé par une équipe de barbiers. Mention spéciale à Pauline, alias Princesse Connass, ambassadrice Harley et speaker de l’événement, qui met une ambiance incroyable sur le stand.
Ce premier jour, je prends mes marques, rencontre l’équipe, ressens l’énergie du lieu et je me sens rapidement à ma place. Le feeling passe immédiatement.










La journée se termine par un passage à l’Artride, dans le skatepark de Biarritz transformé en galerie. Motos custom, ambiance bois et béton, lumière naturelle filtrée… Le lieu est quasi mystique.
Je retrouve Mano, mon meilleur pote, sans qui rien de tout ça ne serait arrivé. Merci à lui. C’est un privilège d’être ici, et j’en suis pleinement conscient.









Petite mention spéciale pour la soirée du jeudi après l’ArtRide : Alex Jumelin a improvisé une démo de flat devant le bâtiment, avec une Harley qui diffusait la musique directement via ses enceintes intégrées – l’ambiance était top ! Les gens ont adoré ce moment spontané, et Alex est toujours partant pour faire découvrir sa discipline dès que l’occasion se présente.
Vendredi : poussière, chaleur et passion vintage
Le lendemain, direction le Vintage Rally, une course off-road dédiée aux motos d’avant 1994. Pas de chrono, juste du fun et du ride. Harley-Davidson y aligne une moto et j’en profite pour documenter les coulisses et l’effort impressionnant du pilote, sous une chaleur étouffante.



On enchaîne ensuite avec une session photo en mouvement à cinq motos. Les routes sinueuses du Pays basque nous offrent un terrain de jeu parfait pour capter l’esprit de liberté, les regards complices et la joie de rouler ensemble.












La fin d’après-midi est consacrée aux riders BMX, avec des démonstrations très attendues.





Puis vient la soirée… incertaine. Un orage menace, mais la chance est avec nous.
Le duo Franck & Damien enflamme le stand Harley avec un concert qui attire plus de monde que la scène principale. Les sonorités rock et folk font voyager le public en plein cœur de l’Ouest américain. Un des meilleurs moments du week-end.









Samedi : ambiance toujours au top malgré la grisaille
Le ciel est couvert, mais le moral est toujours au beau fixe. Je continue à photographier l’ambiance du stand, les échanges, les sourires, la convivialité.
En milieu de journée, la plateforme Harley devient le véritable cœur du festival. La session de BMX Flat attire rapidement une foule compacte. Pauline, au micro, chauffe le public qui réagit avec enthousiasme à chaque figure. Alex Jumelin livre une démonstration impressionnante, applaudie à tout rompre. Stefan et Justin prennent le relais sur la rampe. L’ambiance explose, jamais il n’y a eu autant de monde autour des installations.
Entre chaque session, Alex ne s’arrête pas. Il continue à rider, échange avec le public, et le fait participer. Les spectateurs en redemandent. Il y a une vraie communion entre les riders et le public — c’est vivant, brut, généreux.












Avec Alex, on s’échappe ensuite sur la plage pour faire quelques images. Il enchaîne les tricks sur la plateforme d'atterrissage d'hélicoptère , sous le ciel basque. Le décor est dingue, et les images parlent d’elles-mêmes.

La journée se termine par un apéritif Harley, moment chaleureux avec les partenaires, amis de la marque et membres de l’équipe. L’occasion de débriefer, d’échanger et de savourer la fin de cette expérience hors du commun.




Une aventure inoubliable
Le dimanche, c’est le retour vers Strasbourg, une journée de transport pour repasser le film en tête.
Travailler pour Harley-Davidson sur un événement comme Wheels & Waves a été un véritable honneur.
J’ai découvert une marque iconique mais surtout des humains passionnés, accueillants, inspirants.
Merci à l’équipe Harley, aux riders, aux techniciens, aux artistes, à l’agence Foxy, à Mano… et à tous ceux que je n’ai pas cités, mais qui ont contribué à faire de ces 3 jours une parenthèse intense et inoubliable.